La source d’énergie la plus utilisée actuellement est fossile. C’est-à-dire qu’elle a été produite naturellement en plusieurs milliers d’années, pour jusqu’à présent être consommée en quelques décennies. Nonobstant les réserves restantes, mais les experts ne sont pas très optimistes à ce sujet.

Cette source d’énergie utilisée est le reflet de le conscience qu’une civilisation a d’elle-même, i.e. de sa véritable nature et de son regard sur la nature qui l’entoure et qui la nourrit, aussi bien alimentairement que matériellement. La Terre mère nous porte et nous nourrit, quelques soient le respect et la gratitude que l’homme dit civilisé et éduqué lui porte. S’il dépasse la limite, un cataclysme fera son office, comme ce fut déjà le cas à plusieurs reprises. La Nature l’emporte toujours.

Nous sommes face actuellement à de très grands enjeux climatiques et environnementaux (il semblerait maintenant presque impossible de supprimer le sixième continent, celui formé de plastique). Les experts les plus pessimistes ne donnent pas longs de nos ressources fossiles actuelles alors que les solutions durables et renouvelables (renouvelables à une échelle de temps courte) ne pointent pas encore le bout de leur nez.

Nous observons de plus en plus de personnes qui se soucient, et commencent à regarder leur environnement différemment avec une notion de bidirectionnalité, donnant-donnant.

Nous observons également un accroissement flagrant des chercheurs (et j’espère de trouveurs) de paix et de liberté intérieure. Cela basé sur des phénomènes évidents, tels que la flambée du nombre de professeurs de Yoga par habitant, ou de cours de Qi Gong pour ne citer que ces pratiques.

Deux mouvements sont donc en opération au sein de notre société.

Le premier, écologique, intégrant l’impact de l’action de l’homme sur son environnement. En diminuant les conséquences lourdes de sa production et de sa consommation énergétique. Lourdes par la nécessité de retraiter les déchets.  Dont on ne sait actuellement que faire (CO2 dans l’air, déchets nucléaires, quantité d’énergie colossale pour la production de panneaux photovoltaïques…). Autrement dit, l’écologie c’est désirer et acter pour des sources d’énergie durables, renouvelables et in fine ayant un impact négatif nul sur les générations futures.

Le second, spirituel, considérant l’impact de ses actions sur sa sérénité. Faisant des choix à long terme de bonheur, non consuméristes, ne produisant pas de déchets à retraiter (haine, jalousie, envie, utilisation sexuelle…). Nous pourrions dire une écologie intérieure, reliant l’homme à une source d’énergie durable, renouvelable, intérieure et ayant un impact véritablement positif sur son futur bonheur et celui des autres.

De façon fractale, nous pouvons observer dans nos sociétés, une quête pour une source d’énergie libre, illimitée, et universelle.

Bien à Nous Tous